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SARRERA DESBERDINA:

Bridge


Cet article concerne le jeu de cartes. Pour les autres sens du mot, voir bridge (homonymie).
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Le bridge est un jeu de cartes, de type jeu de levées, consistant à comptabiliser le nombre de levées réalisées. Il se pratique avec un jeu de 52 cartes, par quatre joueurs, opposant deux équipes composées de deux partenaires.
Il se déroule en deux phases :
Plusieurs jeux de cartes comparables au whist sont répertoriés depuis le début du XVIe siècle. Ce sont tous des jeux de levées, avec beaucoup de variations mineures. Le whist devint le jeu dominant et compta de nombreux pratiquants pendant trois siècles.
Dans les années 1870, le whist russe (ou yeralash, ou whist-préférence) gagne l’Autriche puis se répand dans les Balkans. C’est à Constantinople (aujourd’hui Istanbul) que le « britch » (ou « biritch ») apparaît dans les cercles diplomatiques et levantins. De là, vers 1880, il gagne Paris, Londres et New York, où le jeu remplace vite le whist dans les cercles. La particularité du nouveau jeu, c’est qu’un des joueurs y choisit la couleur d’atout (ou le « sans atout »), qui n’est plus laissé au hasard de la retourne. En 1904, se mit en place une phase d'enchères pour déterminer quel joueur désignera la couleur d'atout.
Les cartes à jouer arrivent en Europe depuis le Moyen-Orient, via l'Italie et la Catalogne, vers le milieu du XIVe siècle. Au XVe siècle, le principe de l'atout, né avec le tarot, est adapté aux cartes ordinaires sous le nom de « triomphe », trionfo en Italie, triunfo en Espagne, Trumpf en Allemagne ; en Angleterre, il devient triumph (1522), puis trump. Une « triomphe » anglaise émerge, à côté du « French trump » au XVIIe siècle. C'est la naissance du whisk, qui deviendra whist (déjà en 1665).
Le Whist est exporté sur le continent en 1750, apportant les termes partenaires et chelem. Après 1800, diverses variantes du whist apparaissent : le mort en France, le whist cayenne dans les pays de langue allemande, le whist-préférence ou yeralash en Russie. C’est de ce dernier que vient le bridge, mais avec des apports venus du mort et du cayenne, réunis à Istanbul vers 1870 sous le nom de britch[1].
Le schéma ci-dessous représente la naissance et l'évolution à partir de différents jeux de cartes, qui aboutira au Bridge : une synthèse du Trump anglais, du Quadrille français, de l'Hombre espagnol et du Biritch russe[2].

Sous la forme Biritch, le Bridge apparaît en Angleterre en 1886 : l'innovation distinguant ce jeu du Whist est la présence d'un jeu visible, appelé dummy en anglais, le mort en français, et de trois jeux cachés. Vers 1905, le Auction Bridge (bridge aux enchères) marqua l'apparition des enchères entre les deux camps et de la prime spéciale pour l'équipe qui demande et réalise une manche. Dans la version primitive de 1886 (qui introduisit entre autres l'innovation du « contre d'appel »), le donneur désigne l'atout, ou passe pour laisser ce choix à son partenaire.
Selon une légende, des diplomates britanniques en poste à Constantinople auraient exporté le jeu en Occident. Or le bridge paraît avoir été connu à Paris un peu plus tôt, car la grande presse (Le Matin, Le Gaulois) en parle dès 1888[3]. Dans les années 1890, le bridge apparaît sur la Côte d’Azur, où séjournent de nombreux riches Britanniques (dont Lord Brougham). Le premier code de bridge est rédigé en 1894 sous la direction de « Boaz »[4]. Grâce à des militaires anglais, le bridge passe en Inde, d'où il revient, vers 1905, avec un premier système d'enchères. Il est alors prisé par l'aristocratie et la haute bourgeoisie[5].
Le jeu contemporain résulte d'innovations introduites par Harold Stirling Vanderbilt, qui emprunte beaucoup de ses idées ailleurs, notamment aux règles du commerce[5]. Il écrit les règles pour le bridge-contrat en 1925, en introduisant notamment la notion de « vulnérabilité », et cette forme devient rapidement dominante. On doit l'évaluation en « points d'honneur » à Milton Work et la modification de la marque à Sans-Atout à Ely Culbertson.
Parmi les joueurs les plus célèbres, on peut citer l'Italien Giorgio Belladonna, décédé en 1995, ou encore les Américains Jeff Meckstroth (en) et Eric Rodwell (en). Aujourd'hui, une génération plus jeune tend à dominer ce sport de l'esprit.
Le succès mondial de ce jeu de cartes ne se dément pas. On dénombre 99 015 licenciés en France en 2013, qui se classe ainsi au 2e rang mondial[6] derrière les États-Unis qui compte 160 000 licenciés. Parmi les grandes nations du bridge, on retrouve également le Royaume-Uni, la Pologne, la Norvège, les Pays-Bas, le Brésil ou l'Italie. Parmi les adeptes du jeu : Bill Gates, Warren Buffett, Deng Xiaoping, Omar Sharif.
Assez complexe, le bridge conserve une image plutôt élitiste (à la fois intellectuelle et sociale) et donne lieu à la publication d'une abondante littérature technique.
La World Bridge Federation (Fédération Mondiale de Bridge) est reconnue en tant qu'organisation par le Comité international olympique en 1995 et le bridge en tant que sport en 1999. Cependant, c'est la nature de sport dit « cérébral » du bridge qui ne permet pas sa représentation comme sport aux Jeux olympiques[7].
Il existe néanmoins des compétitions internationales :
Comme bridge est un jeu à information incomplète (en), les logiciels d'intelligence artificielle ont beaucoup de mal à atteindre un niveau compétitif. En 2022, une IA entraînée sur le supercalculateur Jean Zay arrive à battre des champions de bridge de niveau mondial[8]. Un an plus tard, cette même IA est utilisée par l'entreprise d'armement Thales pour synthétiser automatiquement des grandes quantités d'informations[9].
Le bridge se joue avec un jeu de cinquante-deux cartes divisé en quatre couleurs : trèfle ♣, carreau , cœur , pique ♠. Il y a donc treize cartes par couleur. Le terme couleur désigne chacune des séries ♣, , , ♠. On n'utilise jamais au bridge le terme couleur pour désigner ensemble les séries rouges ( et ) ou les séries noires (♣ et ♠). L'ordre des couleurs est important au bridge. Les trèfles sont les plus bas, puis les carreaux, les cœurs et à piques sont les plus hauts. À ces quatre couleurs on ajoute le Sans-Atout (il n'y a alors plus d'atout proprement dit). Lors des enchères, le sans-atout occupe un rang supérieur aux piques.
L’ordre de valeur des cartes de la plus forte à la plus faible : as, roi, dame, valet, dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux. Les cinq cartes les plus fortes, à savoir As, Roi, Dame, Valet, dix, sont généralement appelées honneurs[10].
Le bridge se joue à quatre ; chaque joueur est qualifié par un terme issu des points cardinaux : l'équipe (la paire de joueurs) appelée « Nord-Sud » joue contre l'équipe placée en « Est-Ouest ».
L’objectif de chaque équipe est de marquer le plus grand nombre de points possible, en réussissant ou en faisant échouer (« chuter ») un contrat, c'est-à-dire une promesse faite par une des deux paires de réaliser un certain nombre de levées. Pour aboutir à un contrat, les quatre joueurs passent par une séquence d’enchères ; chacun leur tour, ils ont la possibilité de proposer un contrat, associé ou pas à une couleur d’atout. C’est le camp du joueur qui a émis l’enchère la plus forte qui joue le contrat. On parle de camp déclarant.
On choisit si possible une table carrée ou octogonale permettant à chacun des joueurs de s'asseoir à un bord différent. Les quatre joueurs prennent ensuite place à la table, chacun s'asseyant en face de son partenaire (en diagonale si la partie a lieu sur une table rectangulaire avec deux joueurs par bord). Si cela n'a pas encore été fait, les joueurs avertissent brièvement leurs adversaires de leur système de conventions.
À moins de recevoir une main pré-distribuée (par ordinateur ou par les joueurs d'une autre table) :

Alors que le jeu de bridge est généralement considéré comme le plus complexe des jeux de cartes, ses règles sont relativement simples.
Schématiquement, lors du jeu de la carte:
Geneviève Geneslay a écrit : « La faute la plus grave est de ne pas fournir alors que l'on possède une carte dans la couleur demandée ! Cela s'appelle faire une renonce[12]. » Ces connaissances ne sont toutefois pas suffisantes pour jouer en club. En pratique, il est notamment indispensable de connaître un minimum de conventions d'enchères.
En partie libre, il est possible de jouer une variante, le goulash.
Chaque donne se déroule en 13 levées (aussi appelées plis). Une fois les enchères terminées, le joueur assis à gauche du déclarant entame la première levée en jouant la carte de son choix. Les cartes du mort sont ensuite étalées faces visibles d'une manière standard (voir section sur l'entame).
Les autres joueurs posent alors une carte de leur main, à tour de rôle et dans le sens des aiguilles d'une montre. Les joueurs doivent poser une carte de la même couleur que la première carte posée pour ce pli (on parle de Couleur demandée). Si un joueur n'a plus de carte de cette couleur, n'importe quelle carte de sa main peut être posée (au bridge, contrairement au tarot ou à la belote, on n'est jamais obligé de couper ni de surcouper, sauf si la couleur demandée est l'atout, auquel cas la renonce est pénalisée). Lorsque chaque joueur a joué une carte, le pli se termine et est remporté par le joueur ayant posé le plus gros atout sur ce pli. Si aucun atout n'a été joué, le pli est remporté par le joueur ayant joué la plus grosse carte dans la couleur demandée.
Les cartes jouées par le mort sont choisies par le déclarant. Le mort se contente d'obtempérer et n'a pas le droit d'influencer le choix de son partenaire. Dans la pratique, il arrive souvent que le déclarant manipule lui-même les cartes du mort, celui-ci n'ayant aucune action à réaliser peut même s'absenter de la table.
Les cartes jouées pendant le pli sont ensuite cachées et mises de côté, elles ne serviront plus pour cette donne (la manière exacte de procéder pour les mettre de côté peut varier selon que l'on joue en compétition ou entre amis). Le joueur qui a remporté le pli joue une carte de sa main de son choix (ou du choix du déclarant, s'il s'agit de la main du mort) pour lancer le pli suivant.
Le jeu de la carte se termine lorsque les 52 cartes ont été jouées. Les levées remportées par le déclarant sont ajoutées à celles remportées par le mort. Ce total est comparé au nombre de levées requises par le contrat afin d'établir le score de la donne (voir plus bas).
La première carte est déposée par le joueur à la gauche du déclarant. C'est l'entame. Le partenaire du déclarant étale alors ses cartes sur la table et devient le Mort. Il les étale de sorte que, vu du déclarant, il y ait une colonne pour chaque couleur, que chaque colonne soit triée pour avoir les cartes les plus fortes en haut et que l'éventuel atout constitue la colonne de gauche[13]. Il est d'usage d'alterner les couleurs rouges et les couleurs noires pour le confort.
En compétition, il est d'usage d'entamer sa carte face cachée et d'attendre le "Oui" du partenaire avant de la révéler. Ceci réduit le risque de révéler indûment une carte lorsque l'on pense à tort être l'entameur. Ceci libère également un temps au partenaire pour demander une dernière fois quelques explications sur les enchères sans que l'on puisse suspecter qu'il cherche à influencer le choix de l'entame[14].
Tous les joueurs sont dès lors en mesure de voir le jeu du mort.
La marque du bridge est un élément fondamental du jeu. C'est elle, en effet, qui sanctionne l'ensemble des décisions prises par les joueurs au cours d'une donne et sa construction riche et complexe leur offre de nombreux choix.
Un certain nombre de termes sont spécifiques aux jeux de cartes ou au bridge en particulier. Les mains peuvent être décrites par les termes ci-dessous :
Un joueur débutant doit être familier de ces stratégies lors du jeu de la carte.
Quelqu'un qui joue régulièrement dans des tournois doit être familier avec ces concepts :
Un bon joueur doit connaître celles-ci :
La richesse combinatoire du bridge permet de mettre en œuvre, dans le respect des règles, des techniques de transmission d'informations, aussi bien dans la phase d'enchères que dans celle du jeu de la carte. Ces techniques sont des conventions établies par une entente préalable entre partenaires, qui attribueront à certains types d’enchères ou à certains choix de cartes une signification particulière.
Les conventions d’enchères, parmi lesquelles les plus connues sont le Stayman, le Blackwood, le Texas, le Drury et le Roudi conduisent à l’élaboration d’un système, véritable langage. Parmi les plus connus, la majeure cinquième, l’Acol, le SAYC, la famille des trèfles de force, de précision, polonais, etc. L’inventeur du trèfle fort et de la majeure cinquième est le champion français Pierre Ghestem, dans les années 1960[16]. En France, le système de la « majeure cinquième » ou standard français, promue par Jaïs et Lebel est prédominant. Les systèmes à base de trèfle fort permettent d'optimiser les échanges pour décrire le maximum de mains fortes à bas niveau d’enchère mais sont plus difficilement utilisables par des débutants (parce que moins 'naturels' et plus exigeants en mémorisation et en élaboration de défenses contre les interventions).
Ces systèmes s’appuient tous sur des techniques d’évaluation.
La manière de jouer les cartes peut aussi faire l’objet de conventions.
Deux précisions s’imposent :
Comme la plupart des jeux de cartes, le bridge est un jeu de hasard. Néanmoins, pour atténuer la part de la chance et permettre, en compétition, au talent des joueurs de s'exprimer, le score de chacun est comparé à celui des autres. Il existe deux systèmes principaux :
Dans un tournoi par paires, les joueurs ne sont pas fixes.
On compare ensuite les résultats, ligne par ligne : d'un côté, tous les Nord-Sud, de l'autre, tous les Est-Ouest en cas de mouvement Mitchell, ou une liste unique en cas d'Howell. On les classe par donne, et par score dans le cadre de chaque donne. Sur chaque donne, chaque paire marque deux points (points MP pour l'anglais Match Point) pour chaque autre paire qui a eu un score moindre, et un point pour chaque autre paire qui a fait le même score. Ces points sont additionnés pour déterminer les vainqueurs. On peut compter différemment, en attribuant pour chaque donne un score égal à 2x(<nombre de tables> - <place>), ce qui revient au même. Cette formule privilégie la place sur le score.
Les scores finaux sont donnés en pourcentage, un résultat compris entre 0 et 100 % : 100 % est le meilleur résultat, il signifie que la paire a joué toutes les donnes strictement mieux que toutes les autres paires ; 50 % signifie que la paire a joué en moyenne toutes les donnes comme les autres, et 0 % signifiant que la paire de joueur est la seule à avoir eu le plus mauvais résultat. En pratique, la grande majorité des paires terminent avec un score situé entre 40 et 60 %.
Il est décidé d'une note maximale ; elle sera égale au nombre de paires de joueurs participants au tournoi, diminué de 1. Cette note est attribuée ensuite au meilleur joueur, puis un point de moins pour le joueur suivant et ainsi de suite jusqu'au dernier. En cas d'ex aequo, on fait la somme de leurs points et on divise par le nombre d'ex aequo, chacun marque le chiffre ainsi obtenu. Le tout est converti en pourcentage : on multiplie les points par 100 et on divise par le nombre de points maximal.
En prenant comme exemple les résultats d'un tournoi incluant 9 paires de participants : le plus mauvais score est de 110, 1 paire a marqué 140, 2 ont obtenu 170, 4 ont obtenu 620, la meilleure paire a atteint 650 points.
Les points obtenus seront :
Pour les articles homonymes, voir IMP.
Dans un match par quatre, ou duplicate, deux équipes de quatre joueurs s'affrontent sur les mêmes donnes en croisant les lignes (Nord-Sud de l'équipe A joue contre Est-Ouest de l'équipe B, et réciproquement). On compare ensuite, donne par donne, le score des deux équipes : on convertit la différence de scores entre les deux équipes en « points de match internationaux » ou IMP (pour International Match Points en anglais) selon une table de conversion standard. Ces points de match s'additionnent pour déterminer l'équipe gagnante. Si la compétition s'inscrit dans le cadre d'un championnat, la différence finale en IMP est transformée en points de victoire selon un clef propre à chaque championnat (mais en pratique fortement standard selon le nombre de donnes jouées pendant le match).
Dans cette formule, ce sont les écarts qui comptent et la stratégie diffère donc légèrement mais sensiblement de celle du tournoi par paires classique.
Les matches par quatre servent de support à différentes formes de compétitions, dont :
Il s'agit, en résumé, d'une compétition par paires où les points sont comptés (presque) comme en match par quatre. Il existe deux variantes principales:
Il est également fréquent de ne pas tenir compte des scores les plus extrêmes (par exemple les 5 % meilleurs scores et les 5 % pire scores).
Par-dessus les règles « de base » du bridge, se greffent les règles (ou « lois ») de compétition. Chaque fédération promulgue ses propres règles qui sont d'application dans les compétitions qu'elle organise. Les autres organisateurs de compétitions font généralement implicitement ou explicitement emploi des lois émises par la fédération nationale (ou régionale) correspondante au lieu de la compétition. Certains organisateurs ajoutent quelques règles ou conditions d'inscription (par exemple afin de créer un tournoi « débutants ») tandis que d'autres ne font référence à aucun règlement complet et préfèrent alors l'adage « en cas de problème, voyez avec l'organisateur qui avisera comme bon lui semble ».
En pratique, sauf à haut niveau, il n'est pas vraiment nécessaire de connaître ces règles pour pouvoir jouer en compétition et même à haut niveau, il n'est pas nécessaire de les connaitre entièrement.
Les lois couvrent essentiellement trois besoins :
Phileas Fogg, héros du roman Le Tour du monde en 80 jours de Jules Verne, est un grand amateur de whist, ancêtre du bridge
Le bridge apparaît dans les films suivants :
Sur les autres projets Wikimedia :
Le bridge a donné et donne toujours lieu à une très abondante littérature.
les enchères qui déterminent le contrat à jouer par le déclarant ;
le jeu de la carte pendant lequel le déclarant tente de réaliser au moins le nombre de levées (plis) annoncé par le contrat.

  • Thierry Depaulis, Histoire du bridge, Paris, Bornemann, 1997.
  • Larousse du bridge, aux éditions Larousse, 1995, (ISBN 2-03-518205-0), p.16
  • Thierry Depaulis, Gérard Beauchêne, Philippe Bodard, Jean-Louis Counil, «From ‘britch’ to ‘bridge’: early French accounts of the 1880’s and 1890’s», The Playing-Card, vol. 40, n° 1, juil.-sept. 2011, p. 20-31.
  • The pocket guide to bridge. (As played at the Portland and other Clubs) / by "Boaz". Londres : Thos. De La Rue & Co., 1894. Le pseudonyme "Boaz" a été récemment identifié : cf. Thierry Depaulis, « ‘Boaz’ unmasked », The Playing-Card, vol. 48, n° 4, Apr.-June 2020, p. 139-149.
  • a et b Thierry Hilleriteau, « Carte diplomatique », Le Figaro, mercredi 13 août 2014, p. 20.
  • « La France au 2ème rang mondial », sur www.ffbridge.asso.fr, Fédération Française de Bridge (consulté le ) : « la France avec 99 015 licenciés occupe le 2ème rang mondial[...] »
  • (en)« REVIEW OF THE OLYMPIC PROGRAMME AND THE RECOMMENDATIONS ON THE PROGRAMME OF THE GAMES OF THE XXIX OLYMPIAD, BEIJING 2008 » (consulté le )
  • (en-US) Marie-Christine Rousset, « Une IA championne de bridge », sur The Conversation, (consulté le )
  • « Championne de bridge, l'intelligence artificielle Nook se met désormais au service du corps militaire », sur BFMTV, (consulté le )
  • Lois du Bridge de Compétition 2007, Copyright Fédération Mondiale de Bridge, version française par la Fédération française de bridge, section Définitions
  • Lois du Bridge 6A et 6B, 'Laws of Duplicate Bridge' version 2007 publié en anglais par la Fédération mondiale de bridge
  • Geneviève Geneslay, Bridgez avec vos enfants ! Une méthode rapide, cartes en main, éd. Prat, 1999, (ISBN 9 782858 903276), page 19.
  • Lois du Bridge de Compétition 2007, op.cit., Loi 41D
  • Lois du Bridge de Compétition 2007, op.cit., L'entame et le début du jeu de la carte est réglementé en compétitions officielles par la Loi 41
  • Le Système d’Enseignement Français, Paris, Fédération française de bridge, Le bridgeur, coll. « Université du bridge », , 79 p. (ISBN 2-9513230-0-X), p. 4
  • La méthode est appelée Monaco dans sa version adaptée aux professionnels, décrite dans l'ouvrage Le Monaco, Le Bridge de Demain par Ghestem Delmouly, éditions Laffont 1966.
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