- Planifikazioa - Kontrola - Kontu-ikuskapena
- sin.assurer; constater; examiner
- en make sure; verify
- es comprobar
- eu egiaztatu
vérifier
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- ↑ Quid, Robert Laffont
- ↑ « Le terr. de Cheikh Saïd avait été acquis en 1868 par une compagnie française. C’est pour cette raison qu’il a figuré autref. sur certains atlas avec les couleurs françaises. En fait Cheikh Saïd a été occupé par les Turcs à partir de 1870, et par les Yéménites depuis la Guerre de 1914. », Dictionnaire encyclopédique Quillet, (Édition 1985.).
- ↑ L'océan Antarctique ou Austral est une découpe arbitraire, à partir du Sud du 60e parallèle sud, et prenant sur le Sud des océans Atlantique, Oriental et Pacifique.
- ↑ Ils ont été signalés en 1843, 1878 et dans la notice au marin 164/1122/1902 à Paris et l'Organisation hydrographique internationale l'a notifié le 9 février 1957. Néanmoins, ils figurent dans l'édition du.National Geographic Atlas of the World, 8e édition, 2005, Washington, D.C., National Geographic, plate 93, (ISBN 0-7922-7543-8).
- ↑ Le continent Antarctide est à tort (par habitude) appelé Antarctique, mais normalement le terme Antarctique désigne l'océan Antarctique. Il y a en fait les mêmes relations qu'entre les désignations continent Atlantide et océan Atlantique.
- ↑ La désignation de la France, désigne à la fois la France métropolitaine et la France d'outre-mer. Et à ne pas confondre avec la France continentale.
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SARRERA DESBERDINA:
Liste des colonies françaises
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Cet article vise à donner une liste exhaustive des colonies et possessions françaises au cours de l'Histoire, quel que soit leur statut.
La liste ci-après énumère les terres et territoires qui ont fait partie, ne serait-ce que brièvement, de l'empire colonial français au cours de l'Histoire. Si une partie seulement était sous souveraineté française, elle est indiquée entre parenthèses après le nom du pays ; quand il n'y a pas de parenthèse, tout le pays a fait partie de l'empire. Les pays cités sont ceux qui étaient sous souveraineté française effective.
L'ensemble de l'empire colonial français est partagé en deux périodes :
Le drapeau (actuel) de la France représente les Terres françaises, de nos jours.
Le pavillon de la marine française (de l'ancien régime) représente les possessions territoriales ou provinciales prises sous l'ancien régime (ou vieilles colonies).
L''étendard de la France de l'ancien régime représente une région géographique, constitué de plusieurs provinces ou territoires.
Le pavillon du gouverneur français représente les possessions prises après l'ancien régime.
Et le ou les autres drapeaux ou armoiries qui suivent les drapeaux ci-dessus, sont les drapeaux du territoire, en fonction de son évolution.
Les informations données entre crochets [] concerne le statut des territoires. La fin de celui de colonie a lieu après le référendum de 1958, donnant aux anciens peuples colonisés le choix de leur destin, dont celui du statut de leur territoire. Certains choisissent de conserver leur statut, onze choisissent de devenir des États fédérés au sein de la Communauté Française, et seul un (la Guinée) choisit l'indépendance, les autres la choisissent deux ans plus tard et la plupart choisissent de rejoindre l'Organisation internationale de la francophonie (OIF). Les DOM, TOM, COM, TAAF ne sont pas des colonies mais la France d'outre-mer.
Articles connexes à l'Histoire et l'évolution territoriale française des Amériques
Le territoire d'Araucanie et de Patagonie (État éphémère de 1860 à 1862), même s'il est parfois appelé « royaume de Nouvelle-France », n'a jamais été possédé par la France même si, comme la République de Sonora, la péninsule de Basse-Californie ou l'île de Vancouver, ses territoires ont eu une indépendance éphémère et ont été dirigés par des Français. De même, l'île Floreana (ou Santa María), qui n'a jamais eu de souveraineté concrète de Barcus, ou l'expédition du Mexique, faite sous le Second Empire, qui n'a pas eu pour but de prendre le Mexique comme possession, mais pour objectif de mettre en place un régime favorable aux intérêts français.
Articles connexes à l'Histoire et l'évolution territoriale française des Antilles et d'Amérique du Sud
L'Afrique française désigne l'ensemble des colonies africaines ayant appartenu à la France. Elle ne doit pas être confondue avec l’Afrique française libre, qui désigne de 1940 à 1944 les colonies françaises d'Afrique successivement ralliées à la France libre ; ni avec la Françafrique, qui désigne l'ensemble des relations exercées par la France avec ses anciennes possessions (principalement mis en place par Jacques Foccart) ; ni même avec l'Afrique francophone, qui désigne tous les pays d'Afrique qui ont pour langue officielle le Français, ou qui ont une forte proportion de leur population qui le parle. L'Afrique française désigne :
Corne de l'Afrique (possessions que l'on pourrait regrouper sous l'appellation Afrique de l'Est française) :
« Territoires sous mandat » de la Société des Nations octroyés à la France (territoires jamais officiellement intégrés à l'AOF ou l'AEF) :
La fin des possessions françaises en Afrique passe par la mise en place de l'Union française, puis de la Communauté française. Après la période coloniale, la majorité des territoires de l'ancien empire colonial, devenus des États, ont gardé d'importantes relations avec la France, passant des accords culturels, militaires, économiques... La plupart sont rentrés dans l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), surtout ceux qui ont gardé le français pour langue officielle. Une grande partie des États de l'ancienne AOF et l'AEF, sont membres des Francs CFA, ces monnaies sont garanties par rapport à la monnaie nationale française (anciennement le franc français, jusqu'en 2002), Huit États sont membres de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA ; à savoir : le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo) et six États sont membres de la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC ; à savoir : le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et le Tchad). Djibouti utilise le Franc Djibouti.
Articles connexes à l'Histoire et l'évolution territoriale française des Amériques
Mandat français en Syrie et au Liban octroyés par la Société des Nations :
Indes françaises (1750-1954)
Dans le cas des concessions françaises, la France, à l'instar des autres puissances qui s'étaient également vu octroyer des concessions dans certaines villes chinoises, ne détenait pas la souveraineté sur ces parcelles de territoire qu'elle ne faisait qu'administrer et qui demeuraient partie intégrante de la Chine. Elles ne firent donc pas partie de l'empire colonial, tout comme le Yunnan sur lequel la France exerçait par traité certains droits limités (contrôle sur le Chemins de fer français du Yunnan , etc.).
La colonie libre de Nouvelle-France : plus de 570 colons français y ont débarqué et ont tenté de la coloniser, pourtant ce n'est pas une colonie, mais une escroquerie organisée entre 1877 et 1882. Le territoire correspond à la Papouasie-Nouvelle-Guinée et aux îles Salomon, dont les îles Bougainville, Choiseul, Louisiades et Entrecasteaux, qui portent un nom de personnalité française, mais qui n'ont jamais été colonisées par la France.
Malgré son nom initial, l'île Roché (aujourd'hui Géorgie du Sud) n'a jamais été une possession française. Découverte en 1675, son premier nom vient de son découvreur, Anthony de la Roché, né en Angleterre d'un père français huguenot, travaillant dans le commerce pour l'Espagne en Amérique espagnole. Plusieurs jours après la découverte de l'île Roché, Anthony de la Roché découvrira aussi l'île Diego Alvarez dans l'archipel Tristan da Cunha. Archipel dans lequel, en 1767, l'équipage de la frégate française L'Heure du Berger est le premier à réaliser des sondages, et plus tard, en 1793, le naturaliste français Louis-Marie Aubert du Petit-Thouars y réalisera la première exploration scientifique.
Les Terres Australes et Antarctique Françaises (TAAF) sont répartis sur le bassin Indo-Pacifique. Et les autres possessions françaises du bassin Indo-Pacifique, correspondent à la zone de l'Austronésie.
De 1600, jusqu'en 1896, les îles Mascareignes (île de France, île bourbon, île Rodrigues), les Seychelles et les Chagos, ainsi que les îles Mayotte, Sainte-Marie, Nosy-Be et les territoires de Fort-Dauphin et de Diégo-suarez (sur l'île de Madagascar) étaient regroupés dans la désignation des colonies des Indes orientales. Après 1896, elles ont été mises (ainsi que l'île de Madagarcar) dans la désignation de l'Afrique française.
(Également appelé océan Oriental, ou mer des Indes pendant la période coloniale. Ces possessions étaient gérées par la Compagnie française des Indes orientales, jusqu'en 1795)
Toutes les anciennes possessions françaises de l'océan Indien, sauf les Chagos, sont membres de la Commission de l'océan Indien.
Colonie de Madagascar (1896-1958 ; aussi nommée "France de l'hémisphère Sud" de 1896 à 1945) :
Îles de Mayotte : 2e (1841-1946) [
Dépendances de La Réunion (1841-1886) ; Colonie de Mayotte et dépendances (1886-1896 et 1899-1912) ; la colonie a été administrée depuis La Réunion (1896-1899) ; rattaché administrativement à Madagascar (1912-1946) ; TOM en 1946 administré avec les Comores, puis indépendamment après l'indépendance de l'Union des Comores, puis COM et enfin
DOM depuis 2011]
Îles Éparses de l'océan Indien (Bassas da India, île Europa, île Juan de Nova, île Tromelin, îles Glorieuses, banc du Leven et Banc du Geyser) : 2e (1896) [district des TAAF, qui est un TOM, depuis 2007]
Territoire des îles des Comores : 2e (1912-1946) [rattaché administrativement à Madagascar (1912-1946) ; TOM de 1946-1975 puis détachement de l'administration de Mayotte et devient en 1977
Comores, membre de l'OIF], Les Comores utilise le franc comorien qui est garanti par rapport à la monnaie nationale française (anciennement le franc français).
Archipel des Mascareignes (depuis 1636) :
Articles connexes à l'Histoire et l'évolution territoriale française dans l'Océan indien
Les quatre principales possessions françaises dans l'océan Pacifique sont en Océanie, et exclusivement en Océanie lointaine, les deux autres étant à l'Est (île Clipperton) et au sud (Terre Adélie, également désigné au bord de l'"océan Antarctique" ou océan Austral, depuis 2000[3]).
Les territoires de la France d'outre-mer du Pacifique, continu à utiliser la monnaie française du Franc Pacifique (ou Franc CFP), émis par l'Institut d’émission d’outre-mer (IEOM) qui est la banque centrale des territoires français du Pacifique.
Articles connexes à l'Histoire et l'évolution territoriale française
Organisations internationales françaises
Le Maroc et la Tunisie refusent d'adhérer à l'Union française et choisissent l'indépendance, la Syrie et le Liban sont déjà indépendants depuis plusieurs années. Et certains États associés quittent l'Union française avant sa dissolution le Viêt Nam du Nord (1954), le Cambodge (1955), le Viêt Nam du Sud (1955), le Laos (1957) et les Établissements en Inde (1954).
La Guinée française, qui refuse la Constitution, devient indépendante dès 1958. Les Nouvelles-Hébrides (condominium franco-britannique, qui deviendra plus tard le Vanuatu) n'adhère pas à la Communauté française. De même, les territoires sous mandat de la Société des Nations (SdN), que sont le Togo français et le Cameroun français, n'adhèrent pas à la Communauté, même si leur statut leur donne un pouvoir d'État internationale, tout en restant sous tutelle française jusqu'en 1960.
Pendant la période coloniale, cette forme de possession n'existait pas ou n'était pas reconnue. elle n'a eu une reconnaissance internationale que par une Convention des Nations unies sur le droit de la mer en 1982.
Le territoire faisant partie du premier empire colonial français (du XVe siècle - jusqu'à 1815) ;
Le territoire faisant partie du second empire colonial français (après 1815)