- sin.assiette f; assise f
- ca seient m
- de Sitz m
- en seat; seating
- es asiento m
- eu asentu; asentatu; jarleku
- gl asento m
- it posto m a sedere
- pt assento m
siège m
- Alphonse Rousset et Frédéric Moreau (architecte), Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, classés par département, Bintot, 1855, [lire en ligne].
- « Avril 1944 - Mémoire de la Déportation dans l'Ain (1939-1945) », sur www.memoire-deportation-ain.fr (consulté le ).
- ↑ « Chapelle de Sièges », sur www.patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
- ↑ Notice no IM39001034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no IM39000989, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no IM39000988, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ Notice no IM39000986, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- ↑ « A Sièges, hommage à la Résistance et au lieutenant Darthenay », sur Le Progrès (consulté le ).
- ↑ « Biographie Lt Darthenay », sur www.promoltd.org (consulté le )
- ↑ « Les Saint-Cyriens viendront honorer le lieutenant Darthenay le 17 avril », sur Le Progrès (consulté le )
Wikipediako bilaketara joan
SARRERA DESBERDINA:
Sièges
Les Sièges, commune française de l'Yonne.
Sièges est une ancienne commune du département du Jura, disparue en 1947 lors de son incorporation à Viry.
Son code Insee était 39516.
Alphonse Rousset rappelle sa situation géographique et administrative en 1855 : appartenant à l'arrondissement de Saint-Claude, au canton des Bouchoux, dépendant de la distribution de poste de Molinges et appartenant à la paroisse de Lavancia[1].
Sièges est traversé par le ruisseau des Gorges[1].
En 1944, le village fait partie des quelques villages jurassiens complètement brûlés par les Allemands[2]. Le , le lieutenant Darthenay et André Bésillon y sont torturés et fusillés[2].
Le village se situe à la frontière entre les régions Rhône-Alpes et Franche-Comté. Un arrêté préfectoral du a décidé de son rattachement (par fusion simple) à la commune de Viry. Cette fusion fut effective le (le lendemain de la publication au Journal officiel de la République française).
D'après Alphonse Rousset, la population au fil du temps est la suivante[1] ;